Si André Frossard
affirme : « Dieu existe je l’ai rencontré. », Olivier
Delacroix pourrait nous dire : « Je ne sais pas si Dieu existe,
mais j’ai croisé des regards qui m’ont ouvert l’âme et le cœur ».
Homme de télévision, rockeur
au cœur tendre, Olivier se raconte à travers la vie, les hommes et les femmes,
les jeunes qu’il a rencontrés pour les besoins de ses émissions. C’est une
descente dans le cœur de l’humanité et ces témoins par leur exemple nous disent
qu’il n’y a pas de fatalité et même s’il faut du temps pour se reconstruire,
tout est possible lorsque quelqu’un vous tend la main.
Olivier a eu sa dose de peine
et de chagrin, il les évoque en filigrane de son récit.
Ce qui a changé dans sa façon de penser et de réagir, c’est cette
rencontre déterminante avec les moniales du Pesquié. Il a été bouleversé par cette joie sur leur visage, cette paix qui se
dégage de leur être, loin du tumulte de la vie extérieure.
En cheminant dans la lecture,
on découvre derrière ces visages, quelque chose d’évangélique : Ne sont-ils pas les visages que le Christ a
rencontré ?
Olivier nous entraîne à poser
un autre regard sur ceux qui croisent
notre chemin, ceux que l’on dit « différents » mais qui sont nos
frères. Nous retrouvons grâce à eux notre propre identité de fils et filles d’un même Père.
C.S
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